Le bar

Morgan arriva au bar et entra. Il alla s'asseoir à une table et regarda un serveur. Il l'appella et fit :

Un menu du jour et une vodka s'il vous plaît...

*J'ai une sacré faim de loup moi... héhéhé, quel jeu de mot...*

Le serveur apportant quelques instants plus tard la vodka,ensuite vint le plat... Il mangea son plat et une fois terminé, le garçon apporta l'addition. Il la paya l'addition et s'en alla...

*Rholala, c'est cher ici!!!*

Après une longue errance dans la ville, il trouva enfin l'enseigne de ce qui ressemblait à un gite. Il sourit en pénètrant dans ces lieux, où la convivialité semblait trancher avec le climat extérieur.

"Ola tout le monde !"

Nul ne réagit à son harrangue. Il ne s'en affligea pas, et se dirigea vers le comptoir qui semblait quelque peu délabré. L'aubergiste, qui lui parut bien gras, s'avança vers lui.

"Bonsoir ... vous servez du thé s'il vous plait ?

Du thé ! Hahaha !"

La taverne éclata de rire.

"Ici mon ami, c'est pas chez les nantis ... Alors tu prendras bien un verre de whisky, petiot ?

J'en ai jamais bu ... mais bon je pense que vu les circonstances je n'ai pas le choix. Va pour le whisky ..."

Et il reçut sa ''commande".

Morgan arriva au bar, comme il l'avait fait quelques heures plus tôt... Il s'avança vers le comptoir, près d'un jeune homme au cheveux chatain... Il s'asseya à côté de lui et fit à l'aubergiste :

Un wisky, s'il vous plait...

L'aubergiste lui servit son wisky et alla s'occuper d'autres clients... Morgan commença à boire tranquillement son verre, jetant de temps en temps un oeil sur son voisin aux cheveux châtain et au autres personnes du bar...

A la première gorgée de whisky, Dorian s'éclaircit d'un sourire.

"C'est bon ! On dirait du shnaps alsacien ! "

Et il le but cul-sec. Puis il s'adossa au comptoir, contemplant la taverne. Il remarqua un pianoforte dans un coin ... Peut-être pourrait il trouver du travail ici.

Quelques choses attira son regard. Les oeillades de son voisin commençait à l'intriguer quelque peu. Il se retourna vers lui et lui demanda, avec une petite pointe d'ironie dans la voix, et un flegme tout naturellement anglais.

"Vous cherchez quelques choses ?"

Morgan se retourna à la question de son voisin. Légèrement surpris, il lui répondit d'une voix calme, mélodieuse et amusée :

Je regarde comment est le mode de vie de ce village... C'est assez bizarre le faite qu'il n'aime pas trop la venue de nouveau voyageur... Je me suis fait casiment agresser par une vieille car je demandait mon chemin...

Il fit un petit rire d'enfant et continua :

Je suis nouveau dans le village, je me nomme Morgan, mais appellé moi Mad Doggs... Enfin, comme bon vous semble et vous, comment vous nommez-vous ??

Il mit sa main sur son Wisky et le but tranquillement en le savourant...

Dorian sourit, pour dissimuler ses sarccasmes. Serait-ce un journaliste ? Un écrivain ? Qui pouvait bien vouloir étudier le mode de vie de ce village à l'allure si sinistre ?

"Ah ... Je m'appelle Dorian Lovecraft."

Il reposa son verre puis continua, sur le ton de la conversation.

"C'est vrai que parfois, le gens de l'est manque de courtoisie, mais on va dire que c'est cela qui fait leur charme ..."

Il ne termina pas sa phrase, quelque peu effrayé par le regard noir que venait de lui lancer l'aubergiste.

Morgan le regarda et lui sourit sur ce qu'il venait de dire... Il lacha ensuite :

On raconte beaucoup de légende ici, aimez-vous les loups ??

Il se retourna vers l'aubergiste toujours son sourire et quand il vit celui-ci avec un regard froid, il ne put s'empêcher de lui dire avec un air un peu amusé qui dérangeait l'aubergiste apparrement :

Deux Wisky s'il vous plaît...

Puis, une fois que lui et son compagnon fut servit, il termina son précédent verre avant de s'attaquer au deuxième qu'il venait de commander...

Dorian fut quelque peu décontenancé par la question soudaine de Morgan.

"Eh bien ..."

Puis un verre vint se placer devant lui.

"Merci . Non je n'ai pas entendu parler des légendes de la région, à vrai dire je ne la connaissais pas. Je voyageais vers l'Autriche voyez vous, et le folklore local m'est totalement inconnu. Pour ce qui est des loups, disons que je n'en ai jamais rencontré un pour discuter avec lui"

Il éclata de rire, mais voyant qu'il riait tout seul, soupira.

"C'est sans doute beau à voir en gravure, un loup, mais de là à les aimes ... je ne sais pas."

Morgan commença à sourire et lui fit, après une gorgée :

Si vous voulez, un jour, je vous montrerai un loup... Ceux-ci paraisse méchant, mais croyez-moi que ce n'est que pour se nourrir... Sinon, ils sont inoffencif...

Il ferma ses yeux et lui fit :

Pour les légendes, il n'y a rien de spécial, je sais que dans chaque village, ville, pays, il y a une légende, je me demandais si vous la connaissiez...

Dorian sourit.

"C'est quand vous voulez ! TYout homme qui a domestiqué les loups gagnent à être connu."

Il but son verre, puis dit ensuite, avec une teinte d'humour dans la voix :

"En tout cas, ce village a l'air si austère que je me demande si le diable lui même n'est pas maître de ces lieux ..."

Il éclata de rire, puis dit :

"Sinon, savez vous si des dilligences passent par ici ?"

Morgan finit son verre, et lui fit :

Plus loin, il y a une petite fôret, là bas, il y aura sûrement des loups... Ca vous dirait de venir jeter un coup d'oeil avec moi ??

Il reposa son verre, puis toisa non sans étonnement son interlocuteur.

"Heu ... je ne sais pas ... Il ne semble pas très prudent de sortir la nuit par ici... Peut être demain dans la journée, non ?"

Il s'arrêta brusquement et soupira. La curiosité devenait forte. Mais la crainte également.

"Mais je suppose que si vous avez pu les approcher et en revenir vivant ..."

Morgan sourit... Il n'avait pas fort envie d'y alle de journée, mais bon... Il fit :

Ne vous sentez surtout pas pressé, j'aime juste les balades nocturnes, et puis, qu'avons-nous à craindre ? Ce n'est pas comme si nous allions nous faire attaquer par des monstres sortis des livres, hahaha...

Il se mit à rire avec bon coeur... Il n'était pas méchant, mais qu'est-ce qu'il se sentait seul depuis la mort de sa mère...

Dorian sourit.

"Bon ... eh bien je suppose que je peux vous accompagner ... Mais il faudra que je revienne vite par ici pour trouver où dormir. Un long voyage m'attend."

Il sortit une bourse de sa besace, et soupira tristement en voyant que la quantité d'écu qu'elle contenait diminuer à longueur de journée. IL demanda au maître des lieux combien les deux verres lui coûterait, et il soupira encore en voyant qu'il lui restait tout juste quelques poignées d'écus.

"La vie devient chère ..."

Il se tourna ensuite vers Morgan.

"Quand y allons nous ?"

Morgan sortit quelques pièces et paya avec un petit pourboire pour la gentillesse de l'aubergiste (hum) en faisant :

Laissez, c'est moi qui paie ... Une vie qui devient trop chère, mais heureusement, j'ai quelques réserves...

Il fit, après avoir payé les verres :

Nous pouvons y aller maintenant... Mais ne vous inquiétez point, le voyage ne sera pas long et puis, une balade de nuit ne nous fera pas de tort... Je ne connais point les lieux, mais aucun risque de nous perdre, j'ai un sens de l'orientation fort dévelloppé... Voyez-vous, depuis que je suis tout petit, je voyage beaucoup dans les fôret et j'ai fait pas mal de randonnée..

Il se leva et se dirigea vers la sortie...

Une haute et noble silhouette entra dans le bar-restaurant du petit village balkanique. Elle jeta un long regard mi-amusé mi-blasé sur la clique hétéroclite de rebus humains en tout genre, s'attardant sur une splendide jeune femme dont la beauté exotique tranchait avec les traits durs et taillés à la cerpe des natifs du coin, puis il s'approcha du comptoir.

Je désire carottes, laitues, tomates, poivrons, déclara t-il sur un ton de commandement. Une demi-douzaine de chaque. Ainsi qu'un poulet, un lièvre, une livre de jambon, une assiette de petits pois, et une douzaine de pommes et poires. Tout de suite, conclue t-il en se détournant du comptoire et observant plus attentivement les traits des clients attablés.

Et c'est à emporter, ajouta t-il sans jeter un regard de plus à l'aubergiste.
L'homme sembla vouloir objecter quelque chose, probablement au sujet du paiement ou de la tenue de son client, puis il le considéra de haut en bas et ne pipa mot. L'homme aux traits délicats mais sauvages semblait avoir largement plus d'argent sur lui que toute l'assemblée réunie n'en aurait en trente ans.
L'aubergiste alla donc chercher les ingrédients demandés, les réunis, puis se trouva fort embarassé lorsque vint le moment de les donner à son client. Ce dernier n'avait aucun panier, et le commerçant en était toujours à se demander comment ils allaient faire, quand l'homme dit simplement :

Mettez-moi tout ça dans ce panier.

L'aubergiste regarda le panier désigné -celui de sa femme- et allait refuser quand quelques billets vinrent opportunément se poser sur le comptoire.
Dix secondes plus tard, le vampire repartait, ses achats sous le bras.

Dorian pénètra dans le bar, l'oeil bas et le regard morne. Sa nuit avait été déchirante. Sa transformation avait d'abord était incomplète et douloureuse, sans doute en raison de la fraicheur de son état.

Il s'avança vers l'aubergiste, et lui demanda :

"Bonjour ... voilà je suis confronté à un problème. J'ai fait suivre mes bagages depuis Genève pour arriver jusqu' ici, savez vous où se trouve les comptoirs marchand ou de voyage, dans cette ville ?"

L'aubergiste sourit et alla tira de sous son bar une malle de taille moyenne, en cuir, et ceinte de bretelle de laiton léger.

"Voilà vos affaires, monsieur l'artiste !"

Dorian esquissa un sourire, puis commanda une vodka, et demanda à être servi à une table. Il alla donc, suivi d'une serveuse, jusu'à une petite table, sur laquelle il posa sa commande.

Quand il fut seul, il examina le contenu de sa valise.

Après lui avoir donné ses bagages et servi sa consommation, le tavernier s’approcha à nouveau de Dorian et déposa une clé sur la table

"Voici les clés de la chambre numéro 1. Ce sera la première à droite au premier étage. Etant donné que la route doit être impraticable et que je suis le seul et unique hôtelier de Makbule, je pense que vous allez séjourner dans mon humble hôtel. Le petit déjeuner et les repas sont servis dans la grande au rez-de-chaussée. Je vous souhaite un agréable séjour dans notre région"

Et il retourna derrière son comptoir et se remit à essuyer les verres, en attendant le prochain client. Sa petite affaire fonctionnait très bien, et même parfaitement bien, car il était le seul bar, restaurant et hôtel, et en plus de cela les voyageurs qui venaient se perdre à Makbule y étaient souvent coincés pour la durée de l’hiver.

Severiane se leva et s'approcha du tavernier..elle avait vu cette homme qui avait pris ses bagages..
elle fit un grand sourire et elle mit ses rondeurs en avant

qui est-ce? et dans quel chambre es t'il ?

Le tavernier se pencha par-dessus le comptoir et admire les formes de Séveriane, avant de lui répondre

"Dites donc, je ne suis pas un bureau de renseignements ! Et pourquoi vous indiquerai-je la chambre de ce jeune homme ? C’est une maison respectable ici, Madame ! "

Il se recula et continua à essuyer les verres, sans quitter les protubérances très avantageuses qu’elle mettait en avant

"Je peux vous servir à boire, à manger ou bien vous louer une chambre. Et ce sont mes seules compétences, et c’est déjà bien assez !"

Severiane avait presque envie de tué cette homme ci mal polie mais il y avait trop de personne dans le bar..

alors je voudrais une chambre

elle louait une chambre dont elle n'avait pas besion mais
il lui fallait un escuse pour monté

Le tavernier prit une clé et la déposa devant Séveriane, avec un grand sourire. Il était assez content, car l’hiver était l’époque de l’année où il faisait le plus d’affaires. Les voyageurs arrivaient, étaient bloqués par le climat et comme il était l’unique établissement offrant gîte et couvert, tout le monde était pratiquement obligé de venir chez lui.

"Et voilà, ma brave dame, vous aurez la chambre 2 au premier étage. Je vous souhaite un bon séjour à Makbule !"

Severaine sourit et pris la clés..

je vous remercie

elle se retourna et alla vers sa chambre avec un pas gracieux