rue sombre

dans une ruelle sombre de la ville se distingue une ombre parmis la pénombre, elle avance doucement puis s'arrete, de loin elle observe un groupe etrange qui s'éloigne puis qui tourne au coin d'une rue. Une fois de plus l'attention de baalmung venait d'etre capté par un élément de se village bien mystérieux, l'homme a la flute ! malgré tout il saurait affirmer qu'il avait bien un homme en face de lui. Aprés quelques réflexions silencieuse, Baalmung repris sa marche dans la ville pour trouver un coin où cloitrer avant la tomber totale de la nuit

* quelle bizarre impression... Bon trouvons un endroit où passer la nuit. ha! J'aperçois une auberge là-bas*

Baalmung reprit sa marche puis entra dans la taverne

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 22/01/2007

** Ainsi voila donc ce fameux village où sont sencées s'être produites les plus étranges atrocités qui soit en ce bas monde... comme le peuple est crédule ! Commençons ici.**

Emmitouflé dans un manteau de voyage, Syrius Von Krammer était arrivé dans le village de Makbule en se faisant le plus discret possible... il n'arriverait "officiellement" que le lendemain. Dégageant sa capuche une fois arrivé dans une ruelle suffisament sombre pour qu'elle lui assure un camouflage efficace, le charlatant déploya son matériel : il sortit, d'une besace qu'il dissimulait sous son manteau, une moulure de griffe en argile. Il s'agissait d'une moulure particulièrement grande pour ce qu'elle représentait, grande et ne ressemblant à aucune griffe d'animal connu, l'expert qu'il était devenu avait eu le temps d'étudier son stratagème à la perfection et d'en élaborer minutieusement les moindres détails. Il savait exactement comment procéder et il se tenait au plan... Il observa les demeures avoisinantes afin d'en trouver une qui serait habitée et dont les propriétaires se trouveraient à l'intérieur à ce moment. Son attention se porta rapidement sur une petite chaumière dont la porte d'entrée laissait passer un filet de lumière vers l'extérieur, une lumière vacillante, c'était une chandelle allumée, des gens vivaient ici. Il sortit alors deuxième accessoire de sa besace : l'un des gantelets de son armure complète qu'il avait envellopé dans un chiffon pour en couvrir le bruit métalique.

**Cela sera parfait ! Je ne suis pas peu fier de ce stratagème ci, peut être devrais-je le consigner dans un écrit un jour...**

Agissant désormais avec une rapidité étudiée, le "vendeur d'illusions", comme il se plaisait à se nommer lui même, se rua sur la porte close, après avoir rabbatu sa capuche et y assena un violent coup de gantelet enchiffoné. Il faisait des mouvements olontairement bruyants et nombreux qui devaient être entendus des habitants de cette demeure. Il imita ensuite un hurlement de loup du mieux qu'il le pouvait (avec une voie humaine). Enfin, continuant à frapper avec son gantelet, il utilisa sa fausse griffe en argile sur le sommet de la porte, en y donnant un violent coup, laissant ainsi la trace distincte de la griffe. Ceci fait, Syrius s'enfuit le plus rapidement que ses jambes le lui permattaient et courru à la sortie du village pour se diriger ensuite vers la forêt où il avait caché le reste de son matériel. Il espérait avoir été vu en train de s'enfuir, sous sa capuche noire, par un villageois. Ceci rajouterai du poids aux rumeurs qui ne manqueraient pas de circuler à ce propos le lendemain... quand il arriverait.

**Et l'intrigue commence ! Tremblez villageois car le mal est en ces lieux... ah ah ah, ce promet d'être chose amusante.**

PNJ Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2006

Martha la commère était arrivée chez elle en trombe. Elle avait refermé la porte à double tour derrière elle. A peine à l’intérieur, elle avait pris une grosse couverture pour s’en envelopper, fit un bon feu dans la cheminée et s’installa devant en grelottant. Une bonne heure plus tard, alors qu’elle commençait à se sentir mieux, elle enleva sa robe trempée. Et au moment où elle s’apprêtait à enfiler des vêtements secs, quelque chose heurta sa porte. C’était un bruit sourd… quelqu’un essayait d’entrer.

Elle fut à nouveau pris de panique et étouffa un cri. Elle prit à nouveau la couverture et s’emmitoufla dedans avant de se recroqueviller sous la table. Elle tremblait comme une feuille et osait tout juste respirer de peur que la chose n’enfonce la force. Il y eut ensuite un crissement qui la fit grincer des dents. Elle sentait sa dernière heure approcher à grands pas.

Elle resta ainsi de très longues heures… des heures interminables… les plus longues de toute son existence !!! Elle décida enfin à quitter sa cachette, se vêtit rapidement et alla coller son oreille à la porte. Elle n’entendit que le vent souffler dans les branches. Elle longea le mur, essayant de se plaquer le plus possible contre ce dernier. Elle arriva près de la fenêtre et d’une main tremblotante, osa soulever légèrement le rideau de dentelle pour regarder à l’extérieur. Elle ne vit absolument rien d’inquiétant.

C’est la peur au ventre qu’elle quitta sa demeure, mais en refermant la porte, elle vit des marques de griffes sur le bois. Elle hurla et c’est en piquant un sprint qu’elle prit la direction de l’auberge. Là-bas au moins, il y aurait du monde et on pourrait la protéger.